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La Breille-les-Pins
LOCALISATION
Située dans le Maine-et-Loire (dans la région des Pays de la Loire), à la lisière de l'Indre-et-Loire, La Breille-les-Pins profite d'un cadre privilégié, dans un écrin d'environ 2000 ha de forêt, au coeur du Parc Naturel Régional "Loire-Anjou-Touraine" , à l'extrémité nord de Saumur Agglo ...
Le climat très doux de l'Anjou, la "Vallée des Rois", associé à la tranquillité d'une commune rurale offrent aux habitants, comme aux visiteurs, un cadre de vie ou de villégiature idyllique.

Au dernier recensement, la Breille comptait un peu plus de 600 breillois et breillloises.

Le coeur de notre village est animé, entre autres, par l'école publique (qui accueille, chaque année, une soixantaine d'enfants, de la maternelle au CM2), un hôtel-restaurant, une société de boule de fort ... et par les nombreux évènements que les diverses associations et les habitants ont à coeur d'organiser, année après année, pour faire vivre notre petite commune et la faire connaître.

A quelques kilomètres du bourg, dans le hameau des Loges, les pêcheurs, mais aussi les promeneurs et autres amoureux de la nature viennent apprécier le calme et la beauté de notre plan d'eau entouré de l'immense forêt de pins qui a donné son nom à notre commune ...
Au coeur du massif forestier du Nord Saumurois, La Breille-les-Pins est en haut d’un coteau. Que l’on vienne d’Allonnes ou Brain, de Blou, du nord par Vernoil ou Courléon, ou encore de l’est, par Saint-Nicolas-de-Bourgueil, on "monte à la Breille".

La Breille-les-Pins est la plus petite des communes du canton d’Allonnes par sa population (un peu plus de 600 habitants). Importante par sa surface forestière, elle reste originale par son habitat très dispersé et ses productions particulières de miel et de petits fruits rouges.

Au fil des décennies, le pays, jadis tout en landes et bois épars, s’est étoffé de pins maritimes. Le massif forestier de la Breille, qui jouxte les bois voisins de Saint-Nicolas et de Bourgueil est devenu le massif forestier le plus important de Maine-et-Loire.

Au-delà du village situé en limite sud de la commune, d’importants hameaux complètent sa géographie, comme ceux de La Buffaie et la Blottière, à l’ouest, et celui des Loges, à l’est, qui bénéficie d’un grand plan d’eau et abrite le camping.

Ces caractéristiques permettent à la commune d’offrir de nombreux circuits de randonnée, dont le célèbre GR 36, qui la traverse du nord au sud.

Sur ce sentier, au lieu-dit Les Hautes Belles, se trouve encore la Fontaine bouillante. Pendant longtemps, les villageois, et notamment les lavandières, ont utilisé cette fontaine (la planche sur laquelle le linge était battu est encore en place). Elle est appelée "fontaine bouillonnante" car, matin et soir, des vapeurs de condensation due à la différence de température entre l’eau et l’air se dégagent au-dessus de l’eau. Les flux de l’eau sont visibles au fond de la cuve pavée de tuffeau et donnent une impression de bouillonnement.

- UN PEU D'HISTOIRE -

La Breille tire son étymologie du gaulois désignant un bois entouré d’une clôture. La pierre levée dite « Menhir de la Mère Michel » et la découverte de haches polies attestent d’une occupation des lieux dès la préhistoire. Des traces d’enceintes gallo-romaines ont également été relevées à proximité de l’ancienne voie romaine reliant Vernoil à Bourgueil. La commune relevait alors du seigneur de Montsoreau du Bellay.

Le village se développe tout d’abord autour du prieuré bénédictin et de l’ancienne église Saint-Etienne (XVème-XVIème siècles), situés au lieu-dit « La Tremblaye ».

Il existait deux prieurés sur la paroisse : un prieuré de bénédictins dépendant de l’abbaye de Bourgueil (1169), près de l’ancienne église, et, un couvent de femmes, le prieuré le plus important de l’abbaye de Fontevraud, fondé par Robert d’Arbrissel au lieu-dit "Les Loges". Il en reste actuellement quelques bâtiments conventuels. Le territoire en était alors borné par une grosse pierre, aujourd’hui couchée, appelée le menhir de la Mère Michel.

Déjà connue au XIIème siècle, "Brolia, la Breille" se déplace, au XIXème siècle, peu à peu sur la route de la Loire à Vernoil, au hameau du Vau de Chevré. Le puit du Vau de Chevré, riche de légendes, fut reconstruit en 1768 à la sollicitation de M. Cambon, colonel aux carabiniers de Saumur, qui lui a donné son nom.

En 1845, une mairie-école se construit.

Entre 1864 et 1866, la commune élève une nouvelle église paroissiale, toujours dédiée à Saint-Etienne, réalisée selon les plans de l'architecte Charles Joly-Leterme.

Le 13 mars 1958 La Breille devient La Breille-les-Pins.

CANTON & REGIONEPCI ET SYNDICATS
1790 : Canton de Brain-sur-Allonnes
1797 : Canton d'Allonnes
1801 : Canton de Saumur Nord-Est
1958 : Fait partie de la Région Pays de la Loire
1968 : Canton d'Allonnes
2015 : Canton de Longué-Jumelles
2000 : rattachement au Syndicat Intercommunal à Vocation Multiple du Pays Allonnais (SIVM) : Allonnes, Brain sur Allonnes, la Breille les Pins, Neuillé, Varennes sur Loire, Villebernier et Vivy.
2014 : rattachement au Syndicat Mixte Grand Saumurois
2017 : intégration de l'EPCI (Etablissement Public de Coopération) Saumur Val de Loire

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